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Café Littéraire. Espace ou naissent et se croisent toutes formes d'écrits: slams/poésie/contes/nouvelles/romans/théâtre. Tous les jeudis de 18h à 20h au CEBULAC (Burundi Palace, 1er étage), en plein centre de Bujumbura. Entrée libre et gratuite.

La Chronique de Roland Rugero

  • Quand on parle de "traduction" au Samandari...  Comment peut-elle favoriser une meilleure connaissance du monde par les Burundais, agrandir leur ouverture sur le monde, surtout les jeunes ? 
  • Le plaisir d'écouter. Fendre l'air chaud d'un été finissant pour aller s'asseoir quelque part. Ouvrir grand les oreilles. Écouter une dame, 57ans bien tassées, qui vous raconte comment, rongée par le désir de voyager...
  • Des femmes et des lettres. Cela n'arrive pas souvent, de croiser une Burundaise qui a déjà publié un roman...
  • Petite et grande littérature. Ainsi donc, il y aurait une petite révolution dans cette étroite salle du Cebulac, où l'on tente de prouver que «ces Burundais qui ne lisent pas» écrivent tout de même!
  • Conte et poésie. Questions en vers, un soir de jeudi...
  • Soulagé. Ou pas "L'écriture nous aide déjà à lutter contre le cynisme."
  • Les petites voix... De Gahanga wishwe n'iki aux petits hommes
  • Non lectures... Que lisent les jeunes burundais?
  • Pourquoi écrire? Dans une société que l'on décrit orale, qui plus est, ne parvient pas à s'intéresser à la lecture, la question mérite réflexion. Elle a été posée ce jeudi 15 juillet.
  • C'est un jeudi soir daté le 8 juillet. Dans une salle aux murs blancs, devant une vingtaine d'yeux, on lit un poème en anglais. Le titre de l'œuvre est The fog- Le brouillard (spécialement anglais; a-t-on précisé!)...
  • L'Association des Écrivains ouvrait ce jeudi 24 juin son premier café littéraire. Joie pour la littérature burundaise.